The Big WTF (reboot ou presque)

c'est pas faux

je dirai qu'il y a aussi un peu de resident evil le film (surtout la fille a la fin du message il y a quelque chapitre de ca )

MA CHATTE!!!!!!!!!!!!!
tu as fait une heureuse, ça va m'aider à supporter d'etre le sous fifre du docteur zeza ^^

Mais... mais... la suite ?

Le temps que je me remette de l'affreuse gueule de bois de ce WE et je m'y remet :p

Misspouet était en train de refaire la cravate de Papa, c’était à croire que seule les épouses savaient faire ce genre de nœud. Elle avait due défaire le semblant de nœud que Pap’s avait commencer, pour ensuite tout refaire dans les règles, et serrer correctement.

Miss : Ce n’est q’un entretien pour la forme, mais j’aimerais mieux que tu soit impeccable. Je suis si heureuse de te voir obtenir cette affectation.
Papa : Mon affectation sous les ordres du colonel Rico ? Je ne sais pas trop qui à bien pu avoir l’idée de m’envoyer dans cette équipe de fou… tu as entendu parler de leur dernière mission ? Ils ont désobéi aux ordres, et le fameux colonel a insulté les officiers supérieurs en bonne et due forme.
Miss : Pourtant ils ont sauvé pas mal de monde là bas.
Papa : oui, c’est vrai, ça n’enlève pas le désastre de leur précédente mission, ils avaient perdu la moitié de leurs hommes.
Miss : D’après ce que l’on m’en a dit, ils avaient joué de malchance. Café ?
Papa : Oui, c’est vrai, mais il y à aussi qu’ils étaient tous des têtes brûlées, et qu’il on affronté l’adversaire là ou ils auraient due se replier. Mais ce qui me taraude le plus, c’est cette mission secrète à laquelle je vais être affecté, dans un bunker à ce que j’en ai entendu. La mise au placard déguisée du colonel Rico, mais pour moi je ne sais pas trop ce que je doit y comprendre… Oui, un café long, deux sucres.
Miss : Tu sais que je n’ais pas trop le droit de parler de mon futur boulot, vu que j’ai signé des accords avec l’armée, mais je me suis dit que je pourrais te parler du bunker dans lequel je devrais travailler pendant quelques mois, sous terre. On m’a parlé d’un petit contingent militaire dirigé par un colonel Rico, et j’ai profité de quelques connaissances que j’ai dans les rangs de l’armée pour suggérer le nom d’un soldat que je connais bien et qui serrait bien utile dans cette mission scientifique.
Papa : non… c’est ça ton boulot top secret dont tu ne pouvait me parler, et tu m’as pistonné pour me garder près de toi ?
Miss : C’est la première fois que l’occasion de travailler ensemble se présente, je n’allais pas passer à coté, une mission scientifique surveillée par les militaires. Tu serras mieux là bas avec moi qu’à la capitale à essayer d’endiguer cette épidémie étrange. Ca me fait flipper moi ce truc.
Papa : Tu me passe le sucre ?... Quoi ? C’est quoi ça ? Des sucrettes ?
Miss : Pour ta ligne.
Papa : Quoi ma ligne ? Je tien la forme tu sais…
Miss : Tu n’as plus vingt ans tu sais.
Papa : Nan… nan, me fait pas ces yeux là.

Miss se réveilla dans une cellule. Elle vit Chamaz en train de faire les cent pas, et Zeza appuyée contre un mur. Jerylian et Ooki chuchotaient. Un garde passa dans le couloir et donna des coups de crosse dans les barreaux. « Un peu de silence la dedans, et pas de messes basses. »

L’attaque de la caserne avait été rapide, elles avaient été vite maîtrisées, et on leur avait mis un sac sur la tête. Puis on les avait jeté dans un camion avant de les transporter jusqu'à un premier camp. A ce qu’elles avaient entendu, ils avaient débarqué une partie des prisonniers, puis le camion avait redémarré, et avait continué jusqu'à un autre camp. On les avait descendu du camion et déplace. On ne leur avait retiré le sac qu’avant de les pousser dans la cellule.


A coté des décombres Pap’s essayait tant bien que mal de nouer sa cravate.

Papa : Quelle idée de se lancer à l’asseau d’une bande de salopards en costard.
Smaugus : Oué, vous avez l’air coincé.
Leather : J’ai bien regardé dans nos affaires, et j’ai pas trouvé la moindre trace de tenue de combat, à la limite des tenues pour des mission en extérieur, mais rien qui protège des balles.
Lesam : Alors autant avoir la classe pour aller foutre sur la tronche des ces mercenaires.
Rico : Ce ne sont pas des militaires ?
Leather : Ils ont du matos militaire, et en ont les connaissances, mais ils n’en sont pas, je dirais même qu’ils n’ont pas une grande expérience du combat, fallait les voir à la ferme en ruine, c’était pas fameux.
Smaugus : Même dans le métro ils valaient pas grand-chose.
Rico : Mouai, c’est vrai qu’on n’a pas eu une grosse résistance là bas.
Keryan : Même moi j’ai réussi à venir à bout de l’un d’entre eux, et pourtant je suis pas gaulé comme un militaire.

A vrai dire Keryan avait été psy dans un institut pour malades mentaux hautement dangereux, et il fallait quasiment tout les jours en maîtriser une bonne dizaine par jours. Devoir plaquer des mastodontes à longueur de journée ça entraîne un peu. On l’avait lorsqu’un jour il confondit injection de calmant avec crocher du droit dans la tronche d’un fou dangereux qui faisait six fois sa corpulence. La famille du malade était assez puissante, et il eu de la chance de ne pas avoir été radié, il trouva une place de psychologue chez les militaires.

Lesam et Leather avaient ramené d’autres affaires pour un peu tout le monde, histoire de changer les vieux habits qu’ils portaient depuis des jours.
Des souvenir éparses revenaient petit à petit quand les survivants retrouvèrent leurs habits, jetèrent un coup d’œil à leur passe, ou quand on leur parla simplement des laboratoires, et de leur ancien job.
Ils sortirent des vêtements de villes classiques, décontractées, des habits sur mesure pour Smaugus qui ne se fournissait que chez de grands couturiers. Seul Thekom se démarqua avec ses bretelles et son nœud papillon.

Thekom : ben quoi ? Je suis fan du doctor joué par Mat Smith.
Smaugus : Rhooo, mon T shirt “Dark Angels Of The Doom”.
Keryan : Tu travaillais avec ça ?
Smaugus : Sous la blouse ça se vois pas.
Keryan : Ca fait quand même un sacré contraste avec ta chemise « Kooplani And Clean »
Smaugus : J’ai fait faire ce T shirt sur mesure dans leur ateliers de couture.
Lesam : Tien au fait Poor, on a retrouvé ta canne.
Poor : Non merci ça va je ne boite plus.
Lesam : Je crois qu’elle a une autre fonction.

Poor regarda la canne, il se rappelait qu’il l’avait parce qu’il avait boité pendant un moment, mais ils ne savait plus ou il l’avait eu… une belle canne au manche ouvragé, un pommeau sculpté, représentant un serpent, symbole de la médecine souvent. Il tourna le manche et tira dessus, faisant sortir une lame en acier tempé. Il l’observa un instant.

Poor : Pourquoi j’ai une lame dans ma canne ?
Leather : On savait que t’était un ancêtre, mais pas à ce point.
Lesam : C’est vrai que ça à l’air d’une antiquité ce truc là… voila la carte de la région, regardez ça.

Lesam déplia une carte en question, il y avait gribouillé quelques annotations, et des indications. Il la lissa et posa des morceaux de brique pour la bloquer au sol. Forza défit le nœud de cravate de Pap’s et le refit correctement.

Forza : On voit bien les hommes mariés, incapables de faire leurs nœuds.
Lesam : Bon. Nous on est là, et les autres gars ont des camps là, là, là, et là. Ils couvrent cette énorme zone, ce qui englobe notre ancienne ville, celle par laquelle vous êtes passé, là ou tout le monde était mort…
Leather : Soit dit en passant, c’était un de leur coups. Je sais pas comment ils ont fait, mais ils avaient envoyé des gars pour vérifier le travail.
Poor : Mais comment ils ont trouvé la caserne ? On est en dehors des limites de leur champ daction.
Leather : Ils avaient une taupe parmi nous.
Lesam : devinez qui.

Le nom de Kevinor sortit des toutes les bouches assez naturellement. Si les oreilles d’une personne sifflaient vraiment quand on pensait à elle, Kevinor serrait alors mort d’un éclatement des tympans.

Lesam : Bien sur le gros camp au centre c’est leur QG, qu’ils ont modestement appelé Valhalla. Entre nous et le valhalla il y à le camp qu’il ont baptisé camp gamma. S’ils ont fait un arrêt ce serra là, et ils ont forcément due en faire pour ravitailler les véhicules.
Leather : C’est un petit avant poste, on pourra l’attaquer ce soir.

Rico s’agenouilla devant la carte. Il observa les courbes, la configuration du terrain…

Forza : Hey colonel, qu’est ce que t’en dit alors ?

Rico regardait la carte, il se sentait acculé, et s’il détestait quelque chose, c’était bien être acculé. Il jeta un coup d’œil aux personnes qu’il avait évacué d’un village qui allait être bombardé. Il y avait surtout des femmes et des enfants.

Rico : C’est tout vu, si on passe par la vallée avec tout ces civils on l’aura dans le fion au passage des canions. Y’a que la forêt qui est faisable.
Joey : Ouep, mais là on passe la frontière, et les relations diplomatique avec la république démocratique du Tauklistan sont pas au top en ce moment.
Rico : Okey, regardez cette vallée, on préviens pour une évacuation par hélico dans six heures.
Joey : Quoi ? En territoire Tauklistanais ?
Rico : Exactement !
Joey : Bien mon colonel.
Rico : Fait pas cette tête, je suis sur que tu vas adorer la ballade.
Joey : C’est pas faux.

Chamaz arriva alors en courant.

Chamaz : Rico ! Les rebelles arrivent, ils sont à notre cul, il nous reste vingt minutes au mieux pour décamper !
Rico : Bien, on a dix minutes pour lever le camp et se barrer de là. Joey, préviens les grands chefs par radio et fixe leur le point de rendez vous, s’ils ne veulent rien savoir passe les moi.

Rico releva le nez de la carte.

Rico : On y vas maintenant, en passant par cette région on devrais arriver jusqu'à ces canions sans se faire voir. On laisse les véhicules à couvert, et on fait une première reconnaissance des lieux. Là on pourra faire un plan d’attaque.
Lesam : Bien chef.
Leather : Le boss est dans la place !
Forza : La Team Rico est là !
Lesam : Presque là.
Forza : Merde ouai, manque Chamaz.


Chamaz observait, les barreaux de la cellule, le moindre défaut de fabrication, la porte, les clés à la ceinture du garde, ils avaient choisi les éclopés pour le boulot de maton. Elle avait repéré celui qui boite, celui qui avait un œil amoché, celui qui était dur d’oreille, elle commençait même à repérer les roulements. Ce qu’il fallait à son plan c’était une bonne diversion.

Des gardes entrèrent, ils tenaient un homme encagoulé, ils le jetèrent dans la cellule voisine. Un type aux allures étranges, habillé d’un grand manteau noir et portant une grande cravate orange. Il se leva et râla contre les gardes.

Cronix : Ha les salopiots ! Ils ont piqué mon chapeau !
Chamaz : Vous sortez d’un cirque ou quoi ?
Cronix : Presque, je me suis improvisé saltimbanque itinérant depuis une petite semaine. Je voyage de villes en villes pour apporter la joie et la bonne humeur, et transmettre des messages de temps en temps. Contre des rémunérations variées, et ça marchait plutôt bien, on me payait en nourriture et eau, et même parfois on m’offrait l’hospitalité là ou l’on voulait me voir rester un peu plus longtemps.
Miss : Et ce n’est pas dangereux de voyager comme ça ?
Cronix : Et bien je viens de l’Est, et la bas les zombies se font rare, à tel point que j’ai put faire du camping sans soucis, à vrai dire, les derniers jours je n’en n’ai pas vu un seul…
Zeza : C’est bizarre, là d’où on viens on à plus ou moins croisé de véritables raz marées de zomzom.
Cronix : Vous venez du sud ouest ?
Chamaz : Exactement.
Cronix : Ha oui… des témoins m’on parlé de hordes qui marchaient vers cette direction, personne ne comprenaient pourquoi. Et certain on même vu des déplacement de masse de ces moisis même en plein jour, c’est à n’y rien comprendre. Enfin bref, je me dirigeait vers une autre zone qui semblait désertée par les zombies quand je me suis fait attrapé et jeté dans un camion, un sac sur la tête, c’est assez désagréable. Et on ne m’a rien dit à par de la fermer. Vous en savez plus peut être ?
Ooki : Pas plus, et aussi aimables que des portes de prison.
Cronix : Ceci dit, nous sommes dans une prison.
Ooki : C’est pas une raison, on pourrait au moins savoir ce qu’ils nous veulent.
Cronix : Que voulez vous, la politesse se perd.

Le garde passa de nouveau « j’ai dit la ferme ! »

Excellentissime (même si pap's sait très bien faire ses noeuds de cravate )

=(^_^)= je préfère les personnages qui savent pas faire leur nœud de cravate ^^ ça enrichie le récit avec des détails secondaire que j'aime beaucoup :p

le visiteur du futur saison 2 episode du maharadja

Quelques jeux de mots rigolos, petit coquin !

Après une semaine d'absence, ça en fait de la lecture!

Toujours aussi fan. C'est complètement barré et en plus ça part loin.

ça n'avance pas beaucoup thekom!!!

Peut-être qu'il est parti séjourner dans un hôtel reculé au fin fond des montagnes du Colorado pour retrouver l'inspiration ... pour peu qu'il n'y ai pas de hache qui traine par là-bas.

proche d'un petit lac suisse ^^ par contre y'a un beau pied de cana dans le jardin
j'essaye de faire le chapitre suivant entre deux siestes :-)
et je me bat avec un clavier qwertz ^^
Mais ça devrais être posté demain :-) Avec en intro une dédicace au nain

y'a interèt !!!

vais essayer de faire un question reponses ^^

chamaz a écrit:

Trop fort, Thekom ! Lesam devant un écran géant, cherchant des blockbusters et sirotant de l'absinthe ... Tu le connais , ma parole !!
J'ai hâte de savoir quand nos deux bannis nous reviendront , ils me manquent

même pas fait expré ^^ mais j'ai crus comprendre que vous formiez tout les deux un petit couple irl comme Miss et Pap's, Forza et Smaug...
S'il y en as d'autres il peuvent se dénoncer ^^

Smaugus a écrit:

et puis il faut un peu de cul aussi. Ca plaira aux ménagères ça.

prspapa a écrit:

avec le nain dans le rôle de rocco?

Et bien j'ai tenue compte de vos attentes ^^

forzaricard a écrit:

c'est pas faux

je dirai qu'il y a aussi un peu de resident evil le film (surtout la fille a la fin du message il y a quelque chapitre de ca )

La fille droguée ? Ha oué, y'a de ça dans je sais plus lequel lesquels des film et jeux ^^ mais j'avais pas mal d'autres choses en tête ^^ mais je sais plus quoi

Smaugus a écrit:

le visiteur du futur saison 2 episode du maharadja

Ha nan, me rappelle plus trop de celui là ^^ faut aue je le revois

sinon, the gimp me casse les nouilles



Smaugus reboutonnait sa chemise. Il se trouvait dans une chambre d'un hôtel luxueux, un de ceux dans lesquels il descendait souvent quand il était de passage à New York. Il jeta un coup d'œil à la créature de rêve qui dormait encore dans le lit. Il y serait resté encore un peu s'il ne devait pas se rendre à cette convention médico-légale. On frappa à la porte. Il ouvrit et découvrit Miss et Zeza, fin prêtes.

Miss : Le taxi arrive dans cinq minutes, dépêche toi.
Smaugus : C'est bon, je suis prêt.
Zeza : Dit donc t'a pris du bon temps toi. C'est pas la top model que tu as emballée toute la soirée ?
Smaugus : Ouep, et sa copine a dû partir de bonne heure. Allez, on va voir ce que donne cette convention ?

Smaugus tournait en rond. Ils avaient roulé pendant un bon moment au pas pour ne pas faire de nuage de poussière, puis ils avaient fait halte dans un petit canyon. Rico et Pap's étaient partis en éclaireurs.

Rico et Papa avaient observé le poste avancé un bon moment. Il s'agissait d'une ancienne ville plus ou moins transformée en un fortin militaire. Les occupants des lieux avaient renforcé les murs extérieurs, avaient monté des miradors un peu partout autour de la muraille. Il y avait des rondes régulières, et on pouvait voir de gros spots qui éclairaient les alentours la nuit.

Plus loin derrière, les autres attendaient. Ils chuchotaient, essayant d'en apprendre un peu plus sur les autres. Les militaires, les scientifiques, les autres. Ce qui revenait le plus dans les discussions était cette étrange amnésie qui semblait avoir frappé tout le monde. Pire que ça encore, ce cataclysme dont tout le monde pensait qu'il datait de la nuit des temps commençait à ne plus sembler si vieux pour certain.

Poor : Je sais pas pour vous, mais j'ai l'impression qu'on retrouve des bribes de souvenir depuis que l'on a quitté notre ville.
Leather : Ce serait pas étonnant, Kevinor utilisait une sorte de drogue sur Ponny Ponnette pour trafiquer complètement ses souvenirs.
Lesam : Il faisait plusieurs expériences déjà dans notre ville, mais nous ne savons pas lesquelles.
Leather : Il a parlé d'un émetteur une fois.
Thekom : vous avez toujours les fréquences de communication de ces gugusses ?
Lesam : Ouep.
Thekom : On pourrait leur passer un message, dans le genre des gars qui leur amènent des prisonniers, vous avez pris des uniformes à quelques un de ces gars non ?
Lycan : C'est une idée de fou ça, une sorte de cheval de trois ?

Rico et Papa arrivèrent à ce moment là

Rico : C'est aussi ce qu'on avait l'intention de mettre en place. On a pris cinq uniformes, Forza, Joey, Lesam et Leather vous en enfilerez un avec moi. Les autres vous ferez les prisonniers. Vous prendrez un flingue, on attaquera de l'intérieur.

Les soldats et les faux prisonniers se mirent en place, la nuit était sur le point de tomber, Lesam alluma la radio, et lança un court message avant de couper sans attendre de réponse. "Camp Gamma, on vous apporte des prisonniers". Ils se mirent en route.


Zeza et Ooki faisaient une partie de cartes dans un laboratoire, Ooki gratouillait le dos de sa chatte qui avait sauté sur la table, sans doute avait elle jugé que sa maîtresse ne lui donnait pas assez d'attention quand elle jouait aux cartes. Le téléphone sonna, Zeza le mis sur haut parleur, elle reconnut la voix de Thekom.

Thekom : Salut les filles, je viens de commencer à découper le cadavre que vous m'avez envoyé, et c'est carrément bizarre. Vous êtes sures qu'il est pas mort depuis une semaine ?
Zeza : Nop, c'est certain, on nous l'avait apporté hier, il avait été abattu quelques heures avant par un flic, on nous à demandé s'il y avait des agents viraux, on a fait nos prélèvements, puis on s'est dit que tu voudrais étudier un cas aussi bizarre.
Smaugus : Nan mais vous avez regardé la blessure par balle ? Y'a pas de trace d'hémorragie, comme si il était déjà mort quand on lui à tiré dessus
Ooki : Tien, Smaugus, qu'est ce que tu fais si profond dans les sous-sols de l'institut ?
Smaugus : Thekom était en train d'halluciner sur ce cas, il voulait que j'y jette un œil.
Thekom : Les organes sont complètement morts, et ils commençaient à se momifier.
Smaugus : Et le sang dans les veines devenu poussière… Passe moi son cœur Thekom, faut que je vois la pompe là.
Thekom : Descendez les filles, je vous assure que ça vaut le détours. Fait gaffe Smaug, il est plus très solide.
Smaugus : Ha oué, c'est carrément dégeu.

Zeza s'était hissée jusqu'à la seule ouverture de leur cellule, une sorte d'aération au raz du plafond, munie de barreaux. Les gardes avaient tous été appelé ailleurs, elle en avait profité pour jeter un œil dehors. Elle avait bien faillit lâcher prise et retomber, mais Miss l'avait rattrapé de justesse, les mains sous les fesses, puis l'avait remonté en la poussant à bout de bras. Elle avait put voir que la petite ouverture se trouvait au raz du sol.

Zeza : Je vois une courre pleine de soldats. Ça bouge dans tout les sens… Hooo, je vien de voir passer ton chat Miss.
Miss : Mon savateur de chat ? Cool.

Chamaz se hissa à sa hauteur. Miss et Zeza la regardèrent se hisser du bout des doigts, comme si elle flottait dans les airs.

Chamaz : On doit être à leur QG, ça vas être chaud de sortir de là.
Zeza : Comment tu as fait pour te hisser ici aussi facilement alors que t'es à peine plus musclée que nous autres ?
Chamaz : Bah, la force et la puissance, c'est avant tout dans la tête. Pas besoin de gros muscles.


Ils arrivèrent avec leurs jeeps au camp gamma et ne furent même pas contrôlés. Ils se garèrent dans un coin proche de la banque, et descendirent.

Rico : Il n'y a que dix troufions dans ce camp, Forza avec moi, on va trouver l'émetteur radio, quand vous entendrez les coups de feu, ce sera signe que l'assaut commence.

Rico et Forza se dirigèrent vers l'atelier. D'après la grand antenne qui avait été fixée sur le toit, il y avait des chances que les communications se fassent de là. Les autres attendaient, quand un des gardes s'approcha d'eux.

Le garde : Ben alors, vous les amenez pas au cellules ?
Papa : on attend les ordres du chef, il est allé faire son rapport à la radio.
Le garde : Hé mais je vous ai jamais vu ici vous! Vous sortez d'où ?
Joey : On est nouveau dans le secteur.
Le garde : Lâchez vos armes tout de suite, on va attendre votre chef ensemble.

Le garde braqua son arme sur eux. Il y eu deux coups de feu du coté du bâtiment de communication. Le garde relâcha son attention deux secondes, se qui permit à Papa de l'abattre. Rico et forza sortirent de l'atelier, fusil d'assaut en avant, flinguant trois gardes qui accouraient par là. Les hommes dans les miradors commencèrent à les canarder, le premier groupe se mis à couvert entre les jeeps.

Rico et Forza avançèrent à découvert au milieux de la ville. Ils entendaient les balles siffler autour d'eux. Il sortirent leurs armes de poing, puis ils tirèrent sur le premier mirador.

Rico : Pour moi celui là.
Forza : Tu rêve.
Le garde tomba de son poste en hauteur. Celui-ci n'avait pas encore touché le sol que forza s'était tourné vers le mirador suivant, et avait réglé son compte garde en poste. Rico avait quand à lui fait volte face et vidé l'un après l'autre les miradors entourant la grande porte.

Rico : Egalité
Forza : Plus pour longtemps.

Les autres descendirent de leur poste, et se réfugièrent derrière les bâtiments.

Lesam et Leather sortirent de leur couvert entre les jeeps, et contournèrent les taudis. Papa et Joey passèrent de l'autre coté. Il avançaient doucement et vérifiaient chaque ruelle. Il apercevaient de temps en temps Leather et Lesam qui leur faisaient signe qu'il n'y avait rien de leur côté. Ils tombèrent sur Rico et Forza au détour d'un autre taudis.

Rico : Ils se sont repliés dans le dernier bâtiment tout au fond.
Papa : Ils sont coincés de toute façon ils…

Il fut coupé par Smaugus qui hurlait "Bordel ils ont du renfort ! Il nous attaquent !". Puis il y eu des coups de feu, puis ce fut dans toute la ville. Les deux derniers gardes sortirent alors de leur planque. Ils se mirent à couvert derrière le dernier taudis qui les séparaient de Rico et ses hommes "Rendez vous, votre prise d'assaut vient de tourner au vinaigre, vous…" Thekom et Smaugus sortirent alors de derrière un autre taudis et shootèrent un des deux gardes, la réussite de leur attaque tenant plus de l'effet de surprise que de la précision de leur tir. Le second garde se replia et fit le tour du taudis où il fut cueilli par Lesam et Leather.

Rico, Forza, Joey et Papa se dispersèrent dans la ville. Rico allait de taudis en taudis, il vérifiait de tout coté et traversait une avenue. Au détours d'une cahute il aperçut Poor qui terrassait un soldat de sa canne épée. Il n'avait toujours croisé personne quand il se retrouva face à un soldat. Il le manqua de peu, et se retrouva à court de munitions. Son adversaire était lui aussi à sec. Il restèrent un instant à se dévisager, la main se rapprochant du holster accroché à la ceinture. Prêt à dégainer leurs pistolet. Rico sentait une goutte de sueur dégouliner depuis sa front, contournant son œil, redescendre sa pommette puis sa joue. Sa main se crispait. L'autre ne le lâchait pas des yeux. Il semblait suer lui aussi. La tension devenait palpable. L'air s'électrifiait. Toute personne passant entre les deux hommes aurait probablement sentit ses poils se hérisser sur sa peau.

Smaugus et Thekom surgirent d'un coup de part et d'autre du soldat. Ils était équipés de barres de fer. Il matraquèrent l'ennemi avec force et vigueur, en poussant des cris de barbares. Une fois leur proie devenue inoffensive, ils firent le signe de ralliement des métaleux, poing brandi, pouce vers l'intérieur, index et auriculaire levés. Ils jouèrent de leurs barre de fer comme s'il s'agissait d'une guitare, puis ils disparurent chacun de leur côté.
Jack sortit de nulle part suivit de Petit Xav. Ils s'arrêtèrent aux côtés de Rico où ils furent rejoints par Xmasrider et Chikoss

Chikoss : C'est bon, les renforts en question c'était trois gugusses dans une jeep
Jack : Keryan à trouvé les cellules, il en a profité pour nous sortir de là
Lycan : J'ai trouvé un bâtiment avec plein de lecture. Plein de rapport de mission, et des expérimentations en cours… C'est vraiment flippant. Venez voir ça!

Le bâtiment en question, la banque, était plein de dossiers. Ils retrouvèrent un dossier nommé la ville des sacres. Il était question de l'extermination totale de la population d'une ville en une nuit en utilisant une toxine.

Poor : Regardez moi ça, c'est pas un rapport de mission, mais ça parle d'un émetteur qui produit une fréquence spécifique qui attire les zombies…
Rico : Hé ben, cherchez plus le comment du pourquoi des raz de marée de moisis qui nous suivaient.
Smaugus : On les tient ces enfoirés qui pourrissent la région!

du grand thekom je dis. Mon personnage me ressemble de plus en plus )

Après cette frayeur causée par le forum ^^ je peu enfin porter ce chapitre que j'avait promis pour hiers ^^
alors pour ce chapitre, j'ai voulut commencer par un flashback concernant un personnage, et puis ça m'a inspiré et j'en ai fait un chapitre complet ^^

Enjoy :-)



Paris, époque indéterminée, une nuit de pleine lune.

L'inspecteur Poorandalone marchait sur les quais de la Seine. Il longeait les murs et faisait des haltes régulières dans les zones d'ombre qu'il trouvait. Il était en pleine filature. L'individu qui marchait calmement, cent mètres devant lui, était suspecté d'enlèvement et meurtre.

On le nommait le sorcier. Le bas peuple racontait qu'il enlevait de jeunes vierges pour dévorer leur âme. Sottises que tout ceci. Poor s'était vu confier l'enquête par le préfet de Paris en personne. Le sorcier enlevait des personnes de tous âges, de tous genres, sans distinction. La panique commençait à gagner la capitale, et il fallait que cela cesse.

Poor avait commencé à étudier les premier cas de disparition quand les premier corps furent retrouvés, flottant sur la Seine. Laissés là en évidence, comme un pied de nez aux autorités. Mais allant plus loin que ses collègues, Poor finit par trouver des pistes, de nombreuses pistes. Et soudain, ce maniaque furtif qui ne laissait pas de trace, était devenu à ses yeux un personnage grossier, et brouillon. Les victimes étaient toutes de fervents religieux.

Toutes les pistes qu'il avait réunit en secret menait vers un antiquaire. Un vieil homme qui avait des relations dans les milieux mondains, comme le commissaire principal dont la femme restait éternellement jeune malgré son age avancé, ou quelques ministres qui ne prenaient plus une ride, et même parfois en perdaient.
Il y avait aussi le même "rituel" à chaque fois. Trois jours après une disparition, l'antiquaire en question organisait une réception. Réception luxueuse on l'on croisait la crème de la société parisienne.

Poor avait dû travailler en sous-marin. Il y avait trop de personnes importantes impliquées dans cette affaire pour qu'il passe par les voies officielles.

L'homme qu'il suivait pris un escalier, remontant sur l'avenue qui longeait les quais de Seine. Poor remonta l'escalier à temps pour voir l'homme prendre une calèche. Il fit arrêter une autre calèche, il montra au chauffeur son insigne d'inspecteur, et lui demanda de suivre discrètement l'autre calèche. Cette filature le conduisit dans les quartiers industriels. Le sorcier entra dans un entrepôt. Poor le suivit et entrouvrit la porte par laquelle était entré celui qu'il poursuivait, et entra discrètement. Il y avait des cuves partout, toutes reliées entre elles par des alambics et des canalisations en cuivre. Il y avait aussi des sortes de cordes métalliques qui reliaient certaines installations à un grand bassin dans lequel grouillaient des poissons énormes et tout en longueur. Poor reconnu des anguilles. Le fou utilisait ces poissons pour produire de l'électricité, ce devait être en effet un sorcier pour utiliser une force aussi dangereuse.

Poor monta une échelle. Il n'y avait aucun signe de l'antiquaire. Il passa de passerelle en passerelle, et arriva dans une pièce sombre.

Les lumières s'allumèrent d'un coup. Le sorcier lui bloquait l'entrée. Il n'y avait pas d'autres issues. Partout où il portait son regard, il voyait des sarcophages au couvercle de verre. En regardant un de ces cercueils maléfiques de plus près, il reconnut le commissaire principal. La femme de ce dernier se trouvait dans le sarcophage suivant. Il fit un pas en arrière.

Le Sorcier : A ce que je vois vous avez reconnu votre patron et son épouse… enfin, je devrais dire feu votre patron le commissaire principal qui a eu l'audace de penser qu'il pourrait vivre éternellement.
Poor : Qu'est ce donc que toute cette sorcellerie ?
Le Sorcier : Oh, mais ne soyez pas si grossier. iI ne s'agit que de mon ticket pour les trois prochains siècles. Voyez vous, je sélectionne des âmes dans la crème de la société, je les rends plus puissantes en allongeant leur espérance de vie, et cætera, et cætera, et cætera… Vous voyez ce que je veux dire de toute façon…
Poor : Et l'étape suivante, vous vous nourrissez de ces âmes puissantes pour rallonger votre vie de quelques siècles.
Le sorcier : Oui, en gros c'est cela, mais à force de procéder ainsi j'ai besoin à chaque fois de plus d'âmes… Mais ce n'est qu'un détail vu le nombres de naïfs qui se sont jetés dans mes bras à l'idée de pouvoir garder leur jeunesse leur vigueur et tout le reste. Bien… Vous allez mourir, je n'ai pas que ça à faire, j'ai un programme très chargé et précis, vous savez…

L'homme sortit un revolver et, s'approchant de Poor, braqua l'arme sur lui.

Le sorcier : Une dernière prière peut être ?
Poor : Quoi ? Vous aller m'abattre comme ça ?
Le sorcier : Oui bien sûr.
Poor : je refuse !
Le sorcier : Je ne vous laisse pas le choix.
Poor : Plutôt mourir !
Le sorcier : Que ?… Quoi ?…

Poor profita de ce moment de stupeur du sorcier pour porter un grand coup de canne au bras de son adversaire. Celui-ci tira, mais son tir manqua sa cible. Poor sortit la lame de sa canne épée. Le sorcier recula et tira sur Poor qui esquiva d'un pas sur le côté. Se fendant en avant Poor porta un coup d'estoque et blessa le sorcier au bras. Celui-ci blessé dans son orgueil cria de rage et se jeta sur l'inspecteur dans une ultime et folle envie de l'étrangler. Poor l'empala de sa lame d'acier. Il fut toutefois déçu d'avoir manqué le cœur.

La passerelle lâcha à ce moment là et ils tombèrent tout deux en contre bas. Poor tomba dans une cuve remplie d'un liquide jaunâtre. Une grande cuve en forme de cube de trois mètres de coté, avec des parois de verre. Le couvercle de la cuve se referma, ne laissant pas la moindre bulle d'air. De l'autre coté de la paroi de verre, Poor aperçut le sorcier se relever, le regarder et ricaner avant de retomber, sans doute mort.

Poor se débattait dans la cuve, il essayait de soulever le lourd couvercle, mais celui-ci étant fait de fonte, toute tentative était vaine. Il frappa les parois de verre, mais ne parvint même pas à les ébrécher. Il lutta jusqu'au bout, puis ne tenant plus, il laissa échapper l'air qu'il avait retenu avec peine, et prit une grande inspiration par pure réflexe. Le liquide envahit ses poumons.

Il avait entendu des témoignages de personne qu'on avait sauvé de la noyade. Ils parlaient de douleur atroces. Lui ne ressentait qu'une certaine douceur, un bien être inquiétant au vu de la situation. Il respirait le liquide. Il s'enivrait de sa volupté et son harmonie avec les esprits des lutins qui venaient danser autour de lui… les drogues commençaient à agir sur ses sens.

Si le sorcier avait eu le temps de finir les préparatifs avant son immersion, la cuve se serait vidée et réouverte au bout de quarante huit heures et un système lui permettant de ressortir aurait été actionné. Ce système de réouverture n'était pas là pour Poor.

Il perdit connaissance.

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La suite au prochain flash back de Poor :-)

Toujours aussi imprévisible.

Voilà que tu nous emmènes dans un thriller noir fantastique. Commissaire Magret ou lieutenant Colon Beau, un rôle qui sied parfaitement à Poor.

poor serait un immortel ??

Il faut croire qu'il marche aux hormones de jeunesse et au botox.

Bonne ambiance : silencieuse, étouffée et glauque (dans le sens éthymologique du terme : verdâtre).
Paris convient, mais l'atmosphère évoque également le Londres fin XIXe de Conan Doyle.
Tu veux transformer mes 40 ans en 150, galopin !

"étymologique", nom de Zeus !

Quoi qu'il en soit, thekom, tu as une fibre de feuilletoniste.

mais vous avez tout faux pour les infos me concernant IRL

parle nous de toi lesam ^^