The Big WTF (reboot ou presque)

désolé T-K on est accro là

Je vais essayer de finir le #14 avant minuit ^^

Oh oui ! C'est passionnant, je veux savoir ce qui va nous arriver à tous !

La plus belle chute de l'Histoire Moderne! Comment captiver l'assistance et asséner un coup de massue aussi imprévu qu'efficace! Trop bien!

The Forza storie + espoir + passage tranquile et tou gentil ^^




Le car était plein à craquer, et tous étaient dans un état second. Ils se sentaient bizarre, assis là sur des sièges confortables, à attendre de partir pour un long voyage ou ils ne serrait pas nécessaire de marcher, et ils étaient pressé de partir de cette ville de malheur ou la mort avait frappé de façon étrange et violente. Rico et Joey avaient fait un dernier tour dans la ville pour vérifier qu'ils n'oubliaient rien ni personne. Quand ils eurent remonté dans le car, Papa démarra de nouveau, et manoeuvra pour sortir de la ville.

Pendant que le car sortait et s'engageait dans l'outremonde, Rico et Joey rejoignirent Forza qui devait leur racontait de ce dont il se souvenait avant son réveil. Personne ne lui avait encore parlé de son passage à l'état de zombie alcoolique.

Quand il commença son récit, tous les passagers se retournèrent et firent silence. Forza parla alors de ce qu'il lui était arrivé quand les zombies l'avaient happé par le fenètre...

Au rez de chaussé du commissariat Forza, Rico, Amx et Joey faisaient une dernière ronde pour vérifier la solidité des calfeutrages des fenêtres. Tout semblait ok, et Forza, qui venait de toquer sur les lattes en bois qui condamnaient une fenêtre pour tester sa solidité annonça "C'est bon, on vas pouvoir pioncer tranquille". Sur ce les lattes de bois volèrent en éclat, et une vingtaine de mains décharnées saisirent Forza et le happèrent par la fenêtre.

Ils le tenaient de toutes part, par le col, par les manches, les jambes. Pourtant ils ne le croquèrent pas encore, au contraire, ils s’éloignèrent des ruines du village. Il marchèrent un bon moment, avant de rejoindre une plus gransse horde de moisis. Là ils le lâchèrent. Forza se redressa et tenta de filer de la, mais il fut repoussé et tomba à terre. Les zombies faisaient une sorte de mur grognât. Et des grognements il y en avait de tourtes parts. Il fit une autre tentative de fuite à quatre pâtes, mais des mains le saisirent par les pieds et il fut traîné sur quelques mètres encore. C’est là qu’il crue voir des sorte de sous groupes dans la horde qui l’entourait. Ceux qui l’avaient emmené grognaient fort, et ceux qui venaient de le tirer par les pieds semblaient revendiquer le morceau de viande fraîche qu’il représentait.

Forza profita du fait que l’attention des zombies fut tournée sur la discorde naissante, et il sortit une bouteille de sa besace. Il s’agissait de sa solution de dernier recours. Il l’avait toujours sur lui. Une bouteille de debout les morts dans laquelle il avait mélangé quelques twinoïdes, des amphétamines, ainsi que quelques médoc sans étiquettes. Il ne savait vraiment pas ce que cela allait donner, mais il la bue entièrement, en une seule fois.

Il se releva d’un seul coup, puis jeta la bouteille vide devant lui, fracassant un premier zombie qui se trouvait dans la trajectoire de la bouteille. Puis il commença à distribuer des pains. Des têtes volaient, des membres aussi. Il tabassa du zombie toute la nuit, et il les compta au fur et à mesure. Quand le soleil commença à apparaître à l’horizon, il était en train de démembrer en riant comme un dément les derniers zombies présents sur place. Puis, quand il n’y eu plus rien à exploser, il constata ses nombreuses blessures, et le sang qu’il avait perdu. Il tomba face contre terre.

Forza : Et à la fin je devais être bien naze, et en plus je pissais le sang… et je me suis réveillé aux milieux de vous tous et apparemment mes blessures avaient disparu… sur ce point je patauge dans la semoule. Vous non plus je crois, d’après les têtes que vous faisiez et les cris de joie que vous avez poussé. Mais c’est encore moins bizarre que ce qu’il s’est passé après

Quand il s’était relevé, Forza fut pris d’assaut par le club des girls qui l’embrassèrent chaleureusement, et même Smaugus je jeta sur lui pour lui faire un gros câlin.

D’ailleurs dans le bus smaugus répondit à Forza en faisant une démonstration de la délicatesse mythique des nains.

Smaugus : Ben t’es mort en fait.
Forza : Mort ?
Smaugus : Ben oué, Rico et quatre autres étaient retourné au village pourrit pour chercher de l’essence, et quand il sont revenu hmffff…

Miss et Zeza avaient saisie Smaugus et lui avaient toutes deux mis une main sur la bouche.

Miss : Quand ils sont revenus, ils te transportaient dans le caddie, tu étais encore inconscient.
Zeza : Tes blessures étaient superficielles, avec la fatigue et le mélange alcool médocs, tu as du te croire plus mal en point que tu ne l’était. Mais on flippait grave quand même.
Miss : On ne savait pas si tu allais te réveiller.
Ooki : C’est pour ça que tout le monde à éclaté de joie en voyant que tu allait mieux… bien…
Forza : Et vos gueules effarées et surprises ?
Ooki : Et bien tu dit toujours des trucs effarent et surprenant quand tu te réveille un lendemain de cuitte…
Forza : Hmm ? Ha bon ?
Papa : Rico ? Vien donc voir ce que je vois là devant.

Rico se leva, et se dirigea vers l’avant en se cramponnent au sièges à cause des secousses causées par les irrégularités de l’outremonde qui faisait un très mauvais terrain pour rouler en car. Quand il arriva à coté de Papa, celui-ci lui montra un bâtiment duquel ils se rapprochaient.

Papa : Que pense tu de faire une halte ici ? On inspecte les lieux et on voit si on peux passer la nuit ici ?
Rico : Excellent. De toute façon la nuit devrait arriver d’ici une ou deux heures, c’est peut être le dernier lieux que l’on pourra atteindre aujourd’hui.

Quand le car s’arrêta devant la ruine, Rico et Papa regardèrent ce qui fut autrefois une caserne de pompiers. Rico, Joey, Keryan, Papa, Poor, Chamaz et Thekom descendirent du car pour aller inspecter le bâtiment.

Les sept samouraïs de la survie entèrent dans la caserne par la porte de service. Il découvrirent le garage vide, mais qui avait pu contenir quatre camions et trois plus petit véhicules. Ils inspectèrent le bâtiment et y découvrir des bureaux, des dortoirs, une salle de sport et des vestiaires. Il y avait même une petite cuisine, et un stock de nourritures ou il trouvèrent quelques paquets de viande sèche, des chips, trois boites de conserves a ouverture facile, des bouteilles d’eau…

Rico : C’est la caverne d’Ali Baba ma parole.
Papa : D’après ce que j’ai vu les portes des garages sont blindées, et les fenêtres sont munies de barreaux.
Joey : Rhoooo, vous voulez dire que…
Keryan : On aurait trouvé un nouveau refuge ? Bon sang, c’est une bonne nouvelle, enfin. Et pas de stock d’alcool ici, on vas peut être commencer à avoir une meilleur hygiène de vie dans cette communauté.
Thekom : C’est fini la grande ballade ?
Chamaz : Ouep, et c’est pas trop tôt.

Les sept explorateurs de caserne retournèrent dans le hangar, ou ils trouvèrent Smaugus et Forza qui les attendaient.

Forza : Hey les gars, regardez un peu ce qu’on a trouvé dans ce coin là.
Smaugus : Oué, c’était sous une vielle bâche et vous l’avez pas trouvé bande de nazes, ha ha…
Forza : Une génératrice ! Vous vous rendez compte ?
Rico : Ho mon dieu, décidément c’est le saint patron de Thekom qui nous a mis sur le chemin de ces lieux de salvation. Je vais vraiment songer à prier ton Saint G.A.R. TK.
Thekom : Ben pourquoi ? Tu le priais pas déjà ?
Rico : Heuuu… si bien sur… Bon on doit dire au autres qu’on s’installe ici.
Smaugus : Il faisait comme tout le monde, il venait à la messe écouter tes sermons rigollots pour pouvoir s’adonner au culte de la sainte vodka.

Thekom fit une moue mais ne dit rien. Il suivit les autres quand ils sortirent de la caserne pour prévenir les autres.

Rico et Forza mirent en route la génératrice, et ils purent ouvrir l’une des grandes portes du hangar. Papa fit entrer le car. Tout le monde déchargeât les affaires, et les bureaux furent investis, et les habitants y apportèrent de la literie venant des dortoirs. Il n’y avait bien sur pas assez de bureaux pour tout le monde, mais certains décidèrent de partager leur nouvelle chambre. Quand tous furent casés, Zeza trouva un sac qui traînait encore dans le car. Elle reconnue le sac de Thekom.

Zeza : Ben il a pas déchargé son sac ?
Ooki : Maintenant que j’y pense, je l’ai pas vu depuis quinze vingt minutes…
Miss : Il a pas disparut quand même ?!
Zeza : Mouai, je crois savoir ou on pourrait commencer.

Les trois filles montèrent les escaliers, et arrivèrent sur le toit. Là, elles trouvèrent le prêtre improvisé assis sur un fauteuil, une bouteille de sainte vodka à la main, regardant le coucher de soleil. Elles se rapprochèrent, et Miss et Zeza s’assirent sur les accoudoirs du fauteuil.

Zeza : Ben alors, tu fait quoi là ?
Thekom : Besoin d’être seul, faites pas chier !
Miss : Ecoute Thekom, on est vraiment désolé pour toutes ces fois on est allé à tes messes juste pour boire, mais tu fait une vodka si délicieuse…
Thekom : Ben vous savez quoi, moi non plus j’y croyait pas au début, mais j’ai fini par agvoir besoin de ça, il me fallait une bouée de secours pour pas sombrer dans la folie… et cette bouée c’était Saint GAR, un réalisateur d’avant la grande peste que personne ne sais plus à quand elle remonte…
Zeza : Tu sais, même si on ne croyait pas en ton sain patron, tu assurait plutôt bien pour les messes de deuil.
Miss : Et pour les mariages aussi, tu avais été parfait.
Thekom : C’est vrai ? Vous êtes sérieuses ?
Ooki : Et en confesseur tu était vraiment bien.
Thekom : Mais tu m’a jamais fait part que de truc sans importances et le reste du temps tu me parlait de tes soucis…
Ooki : Ben… fallait que j’en parle à quelqu’un… pour soulager ma conscience.
Thekom : Chourer dans les réserves de Forza c’était devenu une chose banale, pour vous du club des girls en tout cas, y’a que vous qui veniez à confesse… d’ailleurs Zeza devance Miss de quinze bouteilles…
Miss : Quinze ?
Zeza : Quarante deux en tout.
Ooki : Ha ben dit donc.
Zeza : Bon, tu te bouges de là mon grand ?
Miss : Toutes les chambres bureaux sont prises, les dortoirs aussi on été pris quand les bureau ont tous été occupés.
Ooki : mais il reste la chapelle de la caserne, tout le monde a décidé qu’elle te serrait réservé, et ils espèrent pouvoir assister bientôt à la première messe de la caserne, même s’ils ne croient pas pour du vrai en Saint G.A.R.

Thekom se leva, un sourire aux lèvres, et il suivit les filles qui se dirigeaient vers les escaliers pour rejoindre le reste des nouveaux habitant de la caserne. Ooki qui marchait derrière regardait au sol des lignes blanches. Elle ne voyait pas trop le motif que cela faisait, mais si elle avait put s’élever dans les airs, elle aurait pour lire sur le toit de la caserne en lettres peintes en blanc : « 4 T K »

Alors sue la nuit tombait, les gens se pressaient dans le petite chapelle de la caserne. La première « messe » donnée dans le nouveau campement allait commencer. Tout le monde chuchotait, Miss et Chamaz qui était arrivé les dernières bavardaient à l’arrière de la salle.

Chamaz : Il était pas au courant que personne n’y croyait vraiment ?
Miss : je crois qu’il n’y pensait pas vraiment, mais ça lui à mis un coup sur le moral de l’apprendre comme ça si violement.
Chamaz : Smaugus met toujours des gants pour annoncer la vérité… des gants en acier trempé. Personnellement j’allais toujours à ses messes parce que ses discourt ne durent pas des heures, et qu’il est pas barbant.
Miss : C’est vrai que les offices sont toujours bien déjantés.

Thekom entra dans la salle depuis la porte du fond qui menait à la chambre de l’aumônier, et fit un signe de la main aux habitants présents.

Thekom : Ce soir nous allons prier pour remercier le destin, et notre saint patron préféré, luis au moins il a fait des bon films, on peu pas en dire autant des autres saint patrons. Donc nous allons les remercier pour avoir placé ce havre de paix qui roxxe à mort et qui serra notre nouvel eden. Un nouveau paradis pour un nouveau départ, demain nous recommençons les expéditions pour rechercher de quoi continuer à survivre le plus longtemps possible. Ayons une pensée pour nos camarades Lesamaritain et Leatherrebel qui n’avaient pas voulut nous accompagner, et prions pour que l’on recrois un jour leur chemin, que l’on puisse les engueuler comme il faut, et les ramener à la maison.


Au même moment dans le bunker.

Lesam : Et toi, ça te manque pas les messes de Thekom ?
Leather : Non. Quoi que, si, un peu quand même, elles étaient fun, et y’avait de la vodka.
Lesam : Ha ouiii, la sainte vodka, qu’elle était bonne… on en a encore en stock, les bouteilles quême, elles étaient fun, et y’avait de la vodka.
Lesam : Ha ouiii, la sainte vodka, qu’elle était bonne… on en a encore en stock, les bouteilles qu’on avait retrouvé chez lui.
Leather : On fait une petite prière à Saint G.A.R. ?
Lesam : Avec plaisir.


Thekom : Dans cet endroit, je crois pouvoir dire que nous tiendrons encore un bon bout de temps. Rico vas prendre maintenant la parole pour nous parler de la journée de demain que nous nommerons Jour 1. Mais avant ça, sortez vos gobelets, et profitons des dernières bouteilles de sainte vodka.

Chacun avait ramené une tasse un gobelet, ou un mug, comme Forza. Pendant que Thekom remplissait les récipients de tous, Rico s’avança devant tout le monde.

Rico : Bon, même si cette caserne semble un endroit idéal pour survivre très longtemps, il va falloir nous organiser. Demain, nous recommencerons les expéditions comme l’a dit Thekom, dans un premier temps pour explorer les environs, et pour trouver ce dont nous pourrions avoir besoin à l’avenir. Puis dans un futur envisageable, nous pourrons aller plus loin s’il le faut pour de plus grandes expéditions, grâce au car. Mais il se fait tard, et nous sommes tous fatigués. Cette nuit dormons tranquillement, les zombies ne pourront pas entrer dans ces lieux, d’après Papa, il faudrait une bonne dose de dynamite pour faire des failles dans ces murs. Mes amis, je vous souhaite une bonne nuit.

Tous s’en retournèrent à leur nouvelle chambre. Chose qui était une grande nouveauté, et qui les changeaient de leurs tentes. Dormir entre quatre murs déstabilisaient certains, surtout Smaugus, qui avait une petite tente et qui, allongé dans son lit trop grand regardait le plafond qui semblait si haut… et les mur, si éloignés les uns des autres. Il avait installé son plumard dans un coin, et sous une table, pour se sentir mieux. Puis il déplaça un autre bureau pour avoir un semblant de mur de l’autre coté…

Dans leur chambres Miss et Papa se souhaitèrent bonne par un doux baisé romantique, puis, entendant un chuchotement, il se retourna en soupirant vers Zeza et Ooki qui les regardaient, un grand sourire sur les lèvres. Elles avaient voulu partager la chambre avec eux, du moins elles avaient attendu le dernier moment pour aller ensuite demander à Miss si elle pouvaient emménager avec elle et Pap’s, car il n’y avait plus de place

Zeza : Rhoooo, comme c’est meugnon…
Ooki : C’est pour quand les enfants ?
Papa : Et bien on a deux grandes filles maintenant… Allez, dormez les mioches.

Puis se tournant vers Miss qui pouffait de rire.

Papa : Bientôt le club au complet, manque plus que

Quelqu’un frappa à la porte, les quatres occupants de la chambre se tournèrent vers Chamaz qui se tenait dans l’ouverture de la porte avec son matelas sous le bras et ses draps dans l’aute main.

Chamaz : Forza ronfle comme une chaudière en panne, Joey pue des pieds comme c’est pas permit, et Smaugus n’arrête pas de bouger les meubles de la pièce et de raller pour un rien… Je peu venir avec vous
Miss : Oui bien sur
Zeza : Ouep.
Ooki : Cool.
Chamaz : Merci les filles.
Papa : Ok, mais je vous préviens je ne veux plus voir arriver…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Jerylian fit irruption à son tour dans l’ouverture de la porte.

Jerylian : Hey les filles, je suis allé avec Ponny Ponnette et Kevinor pour le partage des chambres, ils sont crissement zarb, je peu pas rester avec eux, laissez moi venir avec vous, je peu pas retourner là bas.

{ Papa : T_T }

Peu après le départ de Chamaz de leur chambre, Forza n’arrivait plus à dormir lui non plus. Il ne savait dire s’il avait été réveillé par les meubles traînés au sol par Smaugus, ou bien à cause de l’oreiller que le nain déménageur avait appliqué sur son visage, pour arrêter les ronflement… après avoir essayé les sifflements, le pincement du nez, et un coup de pied dans les cotes.

Il montât sur le toit pour prendre l’air, et regarder s’il voyait la horde arriver, s’il y en avait une. Là haut, il retrouva Rico et Poor qui jouaient à la pétanque, penchés sur le bord du toit.

Poor : Attention, il bouge… là oui…

Quand Forza les rejoint sur le bord, il vit Rico lacher une boulle de pétanque qui tomba et éclata la tête d’un zombie en contrebas.

Rico : Tu veux te joindre à nous Forza ? Ca fait trois partout pour l’instant.
Poor : Y’a plus de boules de pétanque, mais il y à des boules de bowling.
Forza : C’est plutôt fun votre truc.
Rico : Ouep, et en plus on pourra récupérer les boules demain.

Forza pris une boulle de bowling, il put constaté que les deux lurons avaient aussi pris des poids d’altères. Puis il se penchât sur le rebord du toit, et regarda la petite foule de moisi en bas. Il en visa un et laissa tomber son la boule.

Forza : Allez, encore un de moins.
Poor : Pas mal.
Rico : Celui-ci n’a plus de tête du tout.

Alors que Rico venait de prendre une autre boule de bonne taille, et qui faisait son poids, les trois éclateurs de tête de zombie crurent entendre un grincement de porte.

Poor : Y’a quelqu’un ?
Rico : Qui c’est ?
Forza : Qui est là ?... la sourie… que veux t elle ?...

Il n’y eu pas de réponse et ils de dirent qu’un courant d’air avait fait bouger la porte. Il haussèrent les épaules, et Rico repris là ou il en été. Il visa bien, et, avant de lâcher la boule, il siffla. Un zombie qui rôdait en bas leva la tête, la dernière chose qu’il vit fut trois sourires sadique plus loin en haut et une chose sphérique arriver droit sur lui.

Plus tard, lorsque tout le monde fut couché, Kevinor s’assura que sa sœur dormait, puis il sortit doucement de sa chambre. Tout le monde dormait sans exception, il en entendait certains qui ronflaient. Il remonta sur le toit, et fit bien attention cette fois ci. Les lieux étaient bien déserts, il sortit sa boussole, puis il se plaça au milieu du toit. Il sortit une petite parabole sur trépied qu’il dirigea vers le nord est. Puis il y branchât une petite radio à pille. Il alluma l’appareil, puis commença à parler.

Kevinor : Ici le Capitaine Kevin Reynor au rapport pour la mission d’infiltration. L’émetteur semble fonctionner parfaitement, et la mission de l’équipe Alpha pour la ville des sacres semble être une réussite. Le groupe de survivants dans lequel je me trouve semble s’être trouvé un point d’arrêt. Une caserne qui a résisté au ravages du temps. A noter que la drogue de persuasion marche à merveille, la dénommée Pénélope est persuadée d’être ma sœur et de porter le nom de Ponny Ponnette. Les effets secondaires sont nombreux, une dégénérescence des capacités cognitives, un replis progressif du sujet sur lui-même, un début de schizophrénie, des état d’angoisse de plus en plus prononcé. La liste n’est pas exhaustive, je fournirais plus de détails lors de mon rapport final.

Puis, sans attendre de réponse, il coupa sa radio, rangea son matériel, et retourna dans sa chambre se coucher.

ayaaaaa une taupe dans le groupe.
dismaoipaquecestpasvrai !!!!

Arf ! Kevinor à la potence ! Sale traitre !

c'est un complot pour piquer mes bouteille de ricard!!!! PENDONS LE PAR LES COUILLES

je me trouve bien ramolotte moi dans ton histoire...

ooki a écrit:

je me trouve bien ramolotte moi dans ton histoire...

^^
C'est parce que j'ai été influencé par ton ventre rond sur la dernière photo ^^ je voyait une Ooki délicate j'en avais oublié les photos de Ooki zombie :p
Mais vas y avoir une évolution de certains personnages dans quelques chapitres ;p

Kery m'avais envoyé quelques idées de son personnage pour me guider
tu peu m'envoyer quelques indices sur la façon dont tu aimerais voir évoluer ton personnage dans l'histoire

je savais que kery avait un influence sur ce récit.
il est trop beau, trop polis, trop prudent pour être celui qu'il n'est pas irl.
rhaaaa kery président

en plus avant qu'il le fasse ce MP j'avais à aucun moment pensé a faire un personnage sobre
c'est un peu un personnage paladin
et bientôt il vas se mettre au yoga ^^

kery est la référence et me donne honte de ce que je suis.

je dirais que pour le moment Kery est l'exception dans cette bande de joyeux ZC

Le jour s’était levé calmement, et le soleil était déjà haut dans le ciel. Keryan se trouvait au milieu du grand hangar et faisait ses exercices matinaux, étirement, échauffement, et méditation. Puis les habitants de la caserne commencèrent à se lever. Ils n’avaient pas passé une aussi bonne nuit depuis des lustres. Bien sur Keryan leur fit remarquer l’heure tardive à laquelle ils venaient de se réveiller, mais ils n’en firent pas grand cas.

Rico réunit tous ceux qui étaient debout, et commença à répartir deux groupes pour une première expédition. Deux groupes pour faire une première visite des alentours et voir ce qu’ils pourraient exploiter dans les prochains jours.

Rico : Pap’s, Forza, Keryan et Smaug, nous allons partir explorer vers l’Est. Poor, tu prendras la tête de l’autre groupe, tu partiras avec Joey, Thekom, Lycan et Chikoss du coté Ouest. Pas la peine de chercher absolument des ressources aujourd’hui, nous nous contenterons de faire une sorte d’état des lieux, et on notera la présence des diverses ruines si l’on en trouve.
Poor : Bien reçut, mais si on trouve de l’essence, c’est ce que l’on devrait ramener en priorité, maintenant qu’on en a besoin.
Smaugus : Oué ! Pour la génératrice ! Maintenant j’arriverais plus à dormir sans ma petite veilleuse.
Forza : Tu parles de ce petit truc qui illuminait toute la pièce ?
Smaugus : Oué, ça me rassure.
Rico : Bon, on fait nos sacs d’expédition et on se met en route. Pas besoin de plus de groupes pour ce jour, les autres essayez d’aménager les pièces inoccupées pour que l’on ai ici au moins une banque et un atelier.

Les préparatifs furent rapides. Puis les deux groupes se souhaitèrent bonne chance et partirent dans leurs directions respectives.

Rico et sa bande traversa une zone de désert rocailleux où poussaient de petits buissons aux allures torturées. Il y avait quelques reliefs, des crevasses, des petits ravins, des blocks de roche. Puis soudain, au milieux d’un amas de roches qui semblaient parfois être des ruines, ils trouvèrent quelques chose de bien intriguant. Un escalier qui descendait sous terre. Ils descendirent comme ils le purent tant les escaliers étaient encombrés de divers débris, il n’y avait plus de marche sur les escalators, et le bas était un véritable bazard. Au bas des marches, Smaugus trouva au sol un panneau couvert de poussière et de terre sèche. Quand il l’eu frotté, il put lire métro station Est. Rico sortit une relique qu’il avait trouvé dans la caserne, une lampe de poche. Ils commençaient à s’enfoncer plus en avant dans les souterrain urbain lorsque Forza entendit un bruit de moteur à l’extérieur.

Une voix à l’extérieur cria « c’est bon ils sont descendu ! On les tient ! Balance les gaz ! »

Deux grenades à gaz incapacitant dégringolèrent des escaliers.

***

Du coté Ouest, Le groupe de Papa progressait au milieu de grandes dunes de sable, la marche n’était pas aisée, et ils avaient du sable plein les godasses. Il n’y avait pas la moindre végétation et ils désespéraient de trouver quoi que ce soit quand ils tombèrent sur une énorme ruine en passant le haut d’une dune. Un gros amas de briques et des restes de murs à moitié enseveli sous le sable. A vu d’œil, il s’agissait des restes d’un ancien corps de ferme. Ils commencèrent à fouiller dans les décombres.

Papa : ce qu’il reste de bois est complètement pourrit, mais les briques et les structures de métal semblent correctes.
Keryan : Il faudra désensabler, mais en plusieurs expéditions on pourra ramener pas mal de matériaux pour aménager notre nouveau repère.

Pendant que tout le monde fouillaient et faisaient leur diagnostique sur ce qu’il y avait à récupérer de cette ruine, Thekom s’efforçait de déterrer un vielle table de chevet. Elle était de petite taille et il ne mis pas longtemps à la sortir du sable. Le bois était intact contrairement aux poutres dont on retrouvait des morceaux friables un peu partout. Il ouvrit le tiroir, plus par curiosité qu’autre chose. Il y trouva une enveloppe qu’il ouvrit sans attendre. Dedans il se trouvait un morceau de papier plié en quatre. Lorsque Thekom eu déplié la feuille, il put y lire un message écrit en grosses lettres : « Sauve toi. Cours vite et loin. »

A ce moment là, un gros tout terrain de type militaire surgit de derrière une dune sans que personne ne l’ai entendu arriver. Des homes armés en sortirent, et tirèrent des coups de semonce « que personne ne bouge, rendez vous et tout se passera bien pour vous ».

Thekom se mit à courir droit devant lui. Les hommes tirèrent sur lui. Les bales volaient autour du prêtre, et il continua de courir jusqu'à ce que ses poumons soit en feu, que chaque respiration soit un supplice, que le sang dans ses veines soit devenu aussi douloureux que de l’acide… et à ce moment là il continua de courir toujours droit devant lui. Même lorsqu’il fut hors de portée des armes il continua.

Peut être aurait il été plus judicieux de sa part de partir vers l’Est et non vers le Sud Ouest.

***

A la caserne, les habitants étaient occupés à aménager les salles encore libres. Ils avaient déballé les outils pris dans la ville asséchée, et avaient commencé à aménager un atelier. Les provisions et autres stocks de matériels furent remisés dans une salle qui devin la banque. Quand tout fut fait, ils s’occupèrent comme ils le purent, certain lavèrent les boules de pétanque qu’ils avaient retrouvé dehors, puis il massacrèrent les zombies qui se trouver dans les parages pour pouvoir jouer tranquillement dehors. Les filles avaient même trouvé des transats et avaient commencé à flemmarder au soleil.

Puis des bruits de moteurs se firent entendre. Des camionnettes et des fourgons arrivèrent à vive allure, et firent halte tout autour de la caserne. Des hommes armés sortirent des véhicules, et l’assaut commença. Les joueurs de pétanque et les filles furent les premiers à être fait prisonniers. Se fut la panique générale dans la caserne, quelques uns avaient vu la scène depuis le hangar dont les grandes portes étaient ouvertes pour mieux illuminer les lieux. L’information circula bien vite. Des assaillants entrèrent dans les hangars et d’autres habitants furent pris. Les survivants restant de s’étaient regroupé dans une salle reculée.

Damen : Ca craint les mecs, mais ils sortent d’où ces malades ?
Skuz : Je sais pas trop mais faudrait trouver une solution là et vite.
Machistador : Mais on a pas d’arme, ça vas être coton quand même.
Jack : Il nous reste quelques fumigènes, et les lance piles font quand même pas mal de dégâts, et les hommes dehors ne sont pas tant que ça protégés. Et on a encore quelques couteaux et autres objets tranchants. De plus on connais un peu mieux les lieux pour avoir explorer cette caserne de font en comble, et les conduites d’aération peuvent nous emmener partout dans ce bâtiment. Au pire j’ai trouvé les plans de tout les niveaux dans un des bureaux.
Kevinor : Jack qui reprend du poil de la bête ? Voyez vous ça. Dommage que ce come back tombe à l’eau…
Jack : Que veux tu dire par là ?

Kevinor, qui se tenait à l’écart, sortit une arme et la braqua sur le groupe.

Kevinor : Maintenant tu me donnes ce plan, il nous servira à débusquer des éventuels survivants cachés quelque part. Et puis vous tous vous allez sortir calmement et vous rendre gentiment.
Jack : Qui ça nous ?
Kevinor : Tu vas l’apprendre bien assez tôt

***

Dans l’ancienne ville de Jerylian deux soldats portant des combinaisons hermétiques et des masques à gaz inspectaient un cadavre. L’un d’eux filmait, et l’autre commentait.

« Comme l’a affirmé le Capitaine Kevin Reynor lors de son dernier rapport, l’opération ville sèche à parfaitement fonctionné. Les habitants de cette ville sont tous en état de déshydratation prononcée. Ils… »

« On peu vous aider ? »

Les deux soldat se tournèrent vers la vois qui les avaient interrompu. Devant eux se tenaient deux hommes en costard cravate, portant des lunettes de soleil. Dans un contexte tel que celui ou ils se trouvaient il furent frappé de stupeur par tant de classe. Ils ne réagirent pas à temps lorsque les deux étrangers sortirent une arme de poing pour les abattre.

les men in black !!!

wahou!!! tu te rends compte que t'en as encore pour un gros paquet d'heures pour faire une suite et une fin correctes?
tu pars dans plusieurs sens, j'adore!
le pb c'est que la suite va demander un énorme travail

Pour la suite c'est clair ^^ ça vas être un truc de fou :p mais c'est en train de partir dans une direction que j'avais déjà préparé avant :p

la plupart des grosses lignes sont déjà écrites ^^
après je fait des rajouts, et j'improvise pour relier les éventements

Smaugus a écrit:

les men in black !!!

lesam et leather

prspapa a écrit:

kery est la référence et me donne honte de ce que je suis.

Référence? Pffiouuu t'y vas fort là! Ca serait certes valorisant mais on en est loin...

forzaricard a écrit:

Rico : Pap’s, Forza, Keryan et Smaug, nous allons partir explorer vers l’Est. Poor, tu prendras la tête de l’autre groupe, tu partiras avec Joey, Thekom, Keryan, Lycan et Chikoss du coté Ouest

Je suis parti pour où alors?

On a retrouvé le frère caché de J.J.Abrams! Bien joué TheKom!

Keryan28 a écrit:

forzaricard a écrit:

Rico : Pap’s, Forza, Keryan et Smaug, nous allons partir explorer vers l’Est. Poor, tu prendras la tête de l’autre groupe, tu partiras avec Joey, Thekom, Keryan, Lycan et Chikoss du coté Ouest

Je suis parti pour où alors?

On a retrouvé le frère caché de J.J.Abrams! Bien joué TheKom!

Oups ^^ j'ai due trop regarder fringe
A l'origine Keryan était dans le groupe deux, mais pour les besoin de la suite que je cogitait déjà en écrivant ce passage, j'ai décidé que ton personnage irait avec Rico ^^


Dans les ruines du métro la fumée dégagée par les grenades emplissaient tout l’espace. Seul Rico avait réussit à s’éloigner à temps de ce nuage. Les autres en sortirent bien vite. Forza avait absorbé tant d’alcool dans son existence que son métabolisme pouvait encaisser ce genre de broutilles, il toussait quand même un peu. Smaugus, ancien fumeur invétéré qui avait due arrêter à cause d’une impossibilité se trouver quoi de ce soit à fumer à part les cônes de Thekom, respira quelques bouffées de ce brouillard avant d’en ressortir à contre cœur. Keryan, avec son hygiène de vie favorable en sortit vite fait, sans trop de dommage, mais avec les yeux qui pleuraient. Et pour Pap’s… non mais c’est pas un petit nuage de fumée qui allait incommoder Pap’s quoi, faut pas abuser.

Il entendirent des bruits de pas qui descendaient les escaliers. Rico étegnit sa lampe de poche. Les cinq aventuriers se carapatèrent un peu partout dans l’ancienne station de métro.

Neufs soldats équipés de masques à gaz sortirent du nuage de fumée. Ils allumèrent leur vision de nuit. Ils entendirent des bruits de pas qui allaient dans tout les sens de l’autre coté de la barrière de fumée, ainsi que le grincement d’une porte. Il traversèrent le brouillard, et ressortirent de l’autre coté. Soudain l’un d’eux vit une ombre passer à vive allure et retourner dans le brouillard. Il fit demis tour et fouilla la zone. Il inspecta les lieux, dans cette purée de poids, personne ne pouvait rester bien longtemps sans masque de toute façon. Un courant d’air, une ombre furtive, quelqu’un passa proche de lui… il se retourna… personne. Encore des bruits de pas, puis un autre passage. On lui tournait autours, puis les pas s’arrêtèrent derrière lui. Il se retourna mais il ne vit personne. Il n’avait pas regardé à la bonne hauteur. Il y eut une explosion dans le lointain, il détourna son attention, et il ne vit pas arriver la barre de fer avec laquelle Smaugus lui assena un grand coup sur le crâne. Crâne qui émit un bruit qui indiquât qu’il fut fendu sous le choc, comme s’il avait souvent fait ça.

Il se sentit un peu troublé.

Durant un instant il se vit sur une grande surface verte, en extérieur, il venait de réussir un swing d’enfer, et zezaein le félicitait. « Bien joué cher collègue »

La vision se troubla et disparut. Smaugus se secouât la tête, la fumée commençait sans doute à lui tourner la tête. Il choppa les lunettes magiques du soldat, puis il sortit discrètement du nuage de fumée.

Au loin il entendit des bruits de combat, puis un soldat appela.

Un soldat : Bordel les gars vous êtes où ? Au rapport et Ha putain ! Outch ! Ha ! Bordel par ici les g…

Un coup de feu.

Il rejoignit Rico.

Smaugus : Rico ! Chhht, fait pas ta chochotte, c’est moi le nain… Quatres droit devant.

¤ ¤ ¤

Un des soldats s’approchait d’une porte de service. Il se tourna vers un de ses collègues qui lui fit des signes de la main lui indiquant qu’il retournait vers l’entrée pour inspecter les lieux. Il se retourna pour aller voir ou menait cette porte ouverte. Il avança doucement, et entra dans une pièce sombre, ce qui ne posait pas de problèmes pour lui. Sont seul problème fut de pas avoir eu d’yeux dans le dos. Rico arriva de pas là et lui saisie le coup avec le bras, un bruit d’explosion dans le lointain couvrit la maigre protestation du soldat lorsque rico lui brisa la nuque. A ce moment là un barouf de tous les diables se fit entendre plus loin dans la station, des coups de feu, puis des cris de douleur. Il posât doucement le corps au sol et pris l’arme du soldat.

Un soldat : Bordel les gars vous êtes où ? Au rapport et Ha putain ! Outch ! Ha ! Bordel par ici les g…

Un coup de feu.

Rico avança en silence vers l’origine du coup de feu, il sursauta quand Smaugus le rejoignit. Celui-ci chuchota.

Smaugus : Rico ! Chhht, fait pas ta chochotte, c’est moi le nain… Quatres droit devant.

Rico braqua sa lampe torche, ce qui éblouit les quatre derniers soldats qui accouraient aussi vers le lieux ou leur collègue avait appelé.

¤ ¤ ¤

Keryan avait trouvé une planque bien sombre ou les rayons de soleil venant de l’entrée de la station ne venaient pas. Il s’y mis en planque et attendit. Il sentait son cœur battre ma chamade, il commençait à paniquer. Il se sentait pris au piège, et ne voyait pas vraiment comment il allait pouvoir s’en tirer. Il voyait déjà un funeste sort s’abattre sur lui…

Il s’accroupit, puis se mis à genoux, les mains sur les cuisses et ferma les yeux. Il prit une grande inspiration, et respira calmement. Il évacuât le stress, évacuât la peur, il devait prendre sur lui. Il devait se prendre en main. Il devait affronter ses peurs. Il devait affronter ses peurs. Il devait affronter ses peurs.

Il se trouvait sur un fauteuil de cuir, il prenait des notes dans un petit cahier… non, en fait un gribouillait. « Ecoute Rico, je te dis ça aussi en tant qu’amis, je ne te sert pas le baratin classique… tes peurs sont justifiées, surtout après ce qu’il s’est passé, mais tu doit affronter tes peur justement, et cette affectation est une bonne occasion. »

Une explosion dans le lointain.

Keryan rouvrit les yeux, il entendit au loin des coups de feu, des plaintes de douleur…

Des bruits de pas devant lui. Des petites lumières vertes.

Le soldat : Bordel les gars vous êtes où ? Au rapport et Ha putain ! Outch ! Ha !

Keryan se leva d’un coup et frappa au hasard, il distribuât des coups de genoux, sas mains se refermèrent sur une arme qu’il arrachat sans problème du soldat désemparé, il lui donna un coup de crosse.

Le soldat : Bordel par ici les g…

Keryan l’abattu. Puis il entendit des bruits de pas précipité. Quelqu’un alluma une lampe de poche, éblouissant quatre soldats qui accouraient.

¤ ¤ ¤

Forza et Papa avaient filé au fond du couloir. Il n’y voyaient rien, et avançaient à tâtons. Ils finirent par tomber sur un obstacle, il y avait d’antiques photomatons. Il se terrèrent là et attendirent en silence. Quand il entendirent des pas il retinrent leur respiration. Ils entendirent les soldats s’approcher, deux au son des pas, il attendirent encore un peu. Lorsque les gus furent à proximité le, bruit d’une explosion lointaine se fit entendre. Sans se concerter, ils sortirent de leur planque et se ruèrent sur les soldats. Papa attaqua au hasard et sa main se refermât sur la gorge du soldat, puis il essaya de le plaquer au sol. Forza donna un grand coup de cutter au pif, il touchât l’autre soldat, qui criât en laissant échapper une rafale de balles. Le premier soldat repoussa Papa, mais fut balayé par la rafale du second, il tomba à terre dans un dernier cri de douleur. Forza en avait assez vu grâce au étincelles qu’avait produit l’arme de son ennemi, il envoyat violemment son poing là ou il avait vu le soldat, défonçant son plexus solaire dans un craquement et un dernier gémissement atroce.

Ils prirent les lunettes de vision des soldats, et leurs armes. Puis ils retournèrent sur leur pas. Il entendirent des appels un peu plus loin. « Bordel les gars vous êtes où ? Au rapport et Ha putain ! Outch ! Ha ! Bordel par ici les g… », Puis des bruits de pas précipités, ils virent les silhouettes des soldats restant, il les suivirent. Il aperçurent Rico et Smaugus surgir de derrière un mur de l’autre coté, les soldats qui se tournèrent vers lui, prêt à leur tirer dessus. Ils eurent juste le temps de voir Smaugus, équipé de vision nocturne, pointer son doigt, Rico braquer sa lampe de poche en aveugle devant lui, mais en plein sur les soldats. Ils relevèrent leurs lunettes de nuit. Ils virent les soldats s’arrêter, éblouis, n’ayant pas vu à temps la lampe.

Rico en abattit un, Keryan un autre de la ou il était planqué, puis avant que les dernier ne réagissent, Forza et Papa les shootèrent.

Rico : Comment tu savais qu’ils étaient là ?

Demandât il en braquant sa lampe torche sur le nain coiffé d’une paire de lunette de vision nocturne. Le nain se contenta de plisser les yeux et de montrer du doit son nouveau gadget, qu’il avait remonté sur son front.

Smaugus : Forza et Papa aussi on eu la bonne idée d’en prendre, t’aurais du en faire pareil. En tout cas vous êtes de sacré flingueurs.
Rico : Apparemment on apprend vite en situation de stress intense.
Papa : Ce quartier craint un max, on ferrait mieux de retourner à la caserne pour voir si tout va bien.

Forza était en train de fouiller un corps, il l’avait déjà dépouillé de ses armes et autre type de matériel militaire. Il trouva des papiers, et une enveloppe.

Forza : C’est leur chef celui là, celui que Keryan à buté, il avaient un ordre de mission, ils étaient pas là par hasard. Ceux qui les ont envoyé savent pour la caserne, ils devaient surveiller et si des groupes quittaient les lieux, ils avaient ordre de les suivre puis de les faire prisonniers. Rien qui parle de missions pour d’autres commando ou de ce qu’ils veulent faire de la caserne.
Papa : Bordel, faut qu’on rentre maintenant les gars…
Rico : Les troufions étaient venus avec un véhicule d’après ce que j’ai entendu.
Smaugus : Allez on s’arrache.

Ils se mirent à courir comme un seul homme vers la sortie et traversèrent le nuage sans en tenir compte. Ils remontèrent les marches et, apercevant la jeep garée à l’entrée, Forza sauta au volant « C’est moi qui conduit cette fois ci » avant de se rendre compte que le volant était à droite, la ou Papa avait pris place.

Papa : Te laisser le volant ? Personne n’est fou à ce point.
Smaugus : Bon sang, on à été attaqué par des rosbif ou quoi ?
Forza : Le gars que j’ai fouillé s’appelait Eric Dufresne, je pense pas que ça fasse très british.

Smaugus balança son sac à l’arrière du véhicule avant de monter. Le sac fit un drôle de bruit, et quand il le soupesa, Rico s’aperçut qu’il était assez lourd, il regarda à l’intérieur et sourit.

Smaugus : Je voulais ramener quelques souvenirs.

Ils se mirent en route, Papa roulait à vive allure et ils était assez malmené, surtout à l’arrière, et Rico due une fois rattraper Smaugus par des fringues, sans quoi il aurait valdingué hors de la jeep. Ils suivaient des yeux une colonne de fumée noire visible, ce qui n’était évidemment pas de bon augure.

Il arriva dix minutes plus tard devant les restes de la caserne. Ils descendirent et s’approchèrent des gravas fumants, il y avait encore des flammes par endroit. Smaugus hurla et débitât une série de jurons qui aurait indigné n’importe qui en temps normal.

Papa : Nom de Zeus dis moi pas que c’est pas vrai …
Rico : Seigneur…
Forza : Ho misère.
Keryan : Bon sang de la terre
Smaugus : Putain de bordel de merde les en**lés de leur maman de gros bat**ds de vauriens !

Une jeep model militaire s’arrêta non loin d’eux, et ils virent deux hommes en costard cravate, le nez chaussé de lunettes de soleil, en descendre. « On peut vous aider ? »

La suite! La suite! La suite!

Demain le suite ^^ mon boss, enfin, celui avec qui je bosse sur les projet de logiciels est en vacances ^^
Y'aurra moyen que je bosse sur le chapitre suivant tranquillement :p

je kiffe par contre je trouve que le récit du combat est un peu fouilli. Mais mon personnage il déchire sa race de batard !!